RÉACTION À L'ARTICLE DU JOURNAL DE QUÉBEC du 19 septembre 2011
Article complet du journal de Québec
Résumé:
Quotas de production?
Micheline Robitaille suggère notamment au MAPAQ d’imposer des quotas de production. Selon elle, un éleveur devrait avoir le droit de garder un maximum de 10 femelles reproductives. «Mais [le ministère] refuse ça. Donc ça veut dire que quelqu’un a le droit d’avoir 300 chiens!» s’est-elle insurgée.
Questionné à ce sujet, le ministre Corbeil n’a pas montré une grande ouverture. «Si les gens font les choses de façon adéquate, la quantité n’est pas nécessairement un critère. Maintenant, je ne veux pas balayer ça du revers de la main, ça fait partie de l’analyse qu’on est en train de faire», a-t-il répondu, promettant des réponses dans les prochains mois.
En conclusion, ça revient à dire que les mégas usines à chiots pourront continuer d'opérer si les cages sont propres, de bonne grandeur et si les animaux sont bien approvisionner en eau et en nourriture.
MONSIEUR LE MINISTRE, NON À L'ÉLEVAGE DES CHIENS COMME DU BÉTAIL!
S.V.P faites savoir au ministre Corbeil, votre mécontentement face à ses allégations dans le Journal de Québec
Animaux Actualités demande à ses membres Facebook ainsi qu'au public québécois de communiquer avec Pierre Corbeil, ministre du MAPAQ, pour réclamer des quotas de reproduction afin d'en finir avec les mégas usines à chiots.
P.S Animaux actualités préfèrerait l'abolition des usines à chiots, mais nous sommes conscients que le MAPAQ est loin d'être rendu à cette étape.
__________________________________________________
Modèle de lettre type
Envoyez votre lettre via votre courriel de messagerie.
Objet: Imposition d'un quota, non à l'élevage des chiens comme du bétail!
Monsieur le ministre Pierre Corbeil,
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Copie (CC) au journaliste du journal de Québec:
jean-luc.lavallee@journaldequebec.com
Monsieur le Ministre,
Nous avons été choqués de lire dans le journal de Québec dans l'édition du 19 septembre 2011 que vous n'aviez pas l'intention d'imposer des quotas de reproduction, et ce, malgré la récente saisie de 527 chiens en Outaouais, un record au Canada.
Comment ne pas appréhender les nouvelles mesures à venir lorsque nous prenons connaissance de vos affirmations: (Si les gens font les choses de façon adéquate, la quantité n’est pas nécessairement un critère). Sachez que, sans l'imposition d'un quota de reproduction par le MAPAQ, les usines à chiots pourront continuer d'opérer avec un nombre gigantesque de chiens à condition que les cages, l'eau et la nourriture soient adéquates.
Croyez-vous vraiment que le Québec va enrayer le problème des usines à chiots et de la surpopulation animale si vous ne fixez pas un nombre maximum de femelles reproductrices ainsi qu'un quota de reproduction? Avec ce genre de mesure politique sans portée réelle, les usines à chiots pourront continuer de prospérer légalement pourvu que les conditions de garde soient conformes. Les femelles d’élevage qui passeront encore toute leur vie dans de «plus grandes cages» seront encore accouplées de façon continue jusqu’à ce que leurs corps épuisés deviennent incapables de produire assez de chiots (habituellement entre l’âge de quatre et six ans), à ce moment, elles ne sont plus rentables et sont simplement tuées - pas forcément par un vétérinaire, mais avec les moyens du bord- comme le sont aussi les chiens mâles non vendus.
Nous croyons que, sans l'imposition d'un quota, le gouvernement et le MAPAQ vont au contraire encourager les exploitants à se convertir ou à ce lancer dans ce genre de commerce lucratif qui se rapproche de l'élevage du bétail. Faut-il rappeler au ministre que la dernière saisie de 527 chiens a eu lieu sur une FERME.
Il est totalement inacceptable que nos animaux domestiques du Québec puissent être reproduits avec les mêmes critères que le secteur de l'industrie de la viande. Nous ne voulons pas d'un « havre » pour les éleveurs, nous voulons la fin des mégas usines à chiots.
Nous demandons au ministre du MAPAQ pour la province de Québec, Monsieur Pierre Corbeil, de mettre en place une législation efficace afin d'améliorer réellement le sort des animaux dans son projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens. .
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les plus respectueux.
( Votre nom, adresse, ville )
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mireille guenette (mardi, 20 septembre 2011 18:40)
Imposition d'un quota, non à l'élevage des chiens comme du bétail!
Monsieur le ministre Pierre Corbeil,
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Copie (CC) au journaliste du journal de Québec:
jean-luc.lavallee@journaldequebec.com
Monsieur le Ministre,
Nous avons été choqués de lire dans le journal de Québec dans l'édition du 19 septembre 2011 que vous n'aviez pas l'intention d'imposer des quotas de reproduction, et ce, malgré la récente saisie de 527 chiens en Outaouais, un record au Canada.
Comment ne pas appréhender les nouvelles mesures à venir lorsque nous prenons connaissance de vos affirmations: (Si les gens font les choses de façon adéquate, la quantité n’est pas nécessairement un critère). Sachez que, sans l'imposition d'un quota de reproduction par le MAPAQ, les usines à chiots pourront continuer d'opérer avec un nombre gigantesque de chiens à condition que les cages, l'eau et la nourriture soient adéquates.
Croyez-vous vraiment que le Québec va enrayer le problème des usines à chiots et de la surpopulation animale si vous ne fixez pas un nombre maximum de femelles reproductrices ainsi qu'un quota de reproduction? Avec ce genre de mesure politique sans portée réelle, les usines à chiots pourront continuer de prospérer légalement pourvu que les conditions de garde soient conformes. Les femelles d’élevage qui passeront encore toute leur vie dans de «plus grandes cages» seront encore accouplées de façon continue jusqu’à ce que leurs corps épuisés deviennent incapables de produire assez de chiots (habituellement entre l’âge de quatre et six ans), à ce moment, elles ne sont plus rentables et sont simplement tuées - pas forcément par un vétérinaire, mais avec les moyens du bord- comme le sont aussi les chiens mâles non vendus.
Nous croyons que, sans l'imposition d'un quota, le gouvernement et le MAPAQ vont au contraire encourager les exploitants à se convertir ou à ce lancer dans ce genre de commerce lucratif qui se rapproche de l'élevage du bétail. Faut-il rappeler au ministre que la dernière saisie de 527 chiens a eu lieu sur une FERME.
Il est totalement inacceptable que nos animaux domestiques du Québec puissent être reproduits avec les mêmes critères que le secteur de l'industrie de la viande. Nous ne voulons pas d'un « havre » pour les éleveurs, nous voulons la fin des mégas usines à chiots.
Nous demandons au ministre du MAPAQ pour la province de Québec, Monsieur Pierre Corbeil, de mettre en place une législation efficace afin d'améliorer réellement le sort des animaux dans son projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens. .
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les plus respectueux.
( Votre nom, adresse, ville )
mireille guenette 14685 sherbrooke est montreal
Marie-Josée Tessier (mardi, 20 septembre 2011)
Objet: Imposition d'un quota, non à l'élevage des chiens comme du bétail!
Monsieur le ministre Pierre Corbeil,
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Copie (CC) au journaliste du journal de Québec:
jean-luc.lavallee@journaldequebec.com
Monsieur le Ministre,
Nous avons été choqués de lire dans le journal de Québec dans l'édition du 19 septembre 2011 que vous n'aviez pas l'intention d'imposer des quotas de reproduction, et ce, malgré la récente saisie de 527 chiens en Outaouais, un record au Canada.
Comment ne pas appréhender les nouvelles mesures à venir lorsque nous prenons connaissance de vos affirmations: (Si les gens font les choses de façon adéquate, la quantité n’est pas nécessairement un critère). Sachez que, sans l'imposition d'un quota de reproduction par le MAPAQ, les usines à chiots pourront continuer d'opérer avec un nombre gigantesque de chiens à condition que les cages, l'eau et la nourriture soient adéquates.
Croyez-vous vraiment que le Québec va enrayer le problème des usines à chiots et de la surpopulation animale si vous ne fixez pas un nombre maximum de femelles reproductrices ainsi qu'un quota de reproduction? Avec ce genre de mesure politique sans portée réelle, les usines à chiots pourront continuer de prospérer légalement pourvu que les conditions de garde soient conformes. Les femelles d’élevage qui passeront encore toute leur vie dans de «plus grandes cages» seront encore accouplées de façon continue jusqu’à ce que leurs corps épuisés deviennent incapables de produire assez de chiots (habituellement entre l’âge de quatre et six ans), à ce moment, elles ne sont plus rentables et sont simplement tuées - pas forcément par un vétérinaire, mais avec les moyens du bord- comme le sont aussi les chiens mâles non vendus.
Nous croyons que, sans l'imposition d'un quota, le gouvernement et le MAPAQ vont au contraire encourager les exploitants à se convertir ou à ce lancer dans ce genre de commerce lucratif qui se rapproche de l'élevage du bétail. Faut-il rappeler au ministre que la dernière saisie de 527 chiens a eu lieu sur une FERME.
Il est totalement inacceptable que nos animaux domestiques du Québec puissent être reproduits avec les mêmes critères que le secteur de l'industrie de la viande. Nous ne voulons pas d'un « havre » pour les éleveurs, nous voulons la fin des mégas usines à chiots.
Nous demandons au ministre du MAPAQ pour la province de Québec, Monsieur Pierre Corbeil, de mettre en place une législation efficace afin d'améliorer réellement le sort des animaux dans son projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens. .
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les plus respectueux.
Marie-Josée Tessier Laval
Sebastien Blain (mardi, 20 septembre 2011 20:03)
Il est temps qu'on s'occupe de la surpopulation animal au niveau des naissances pas en les massacrants par euthanasies de masses comme faisait les nazis avec les juifs
france gagnon (mardi, 20 septembre 2011 20:10)
on pass pour des arrierés au Qubec comparativement a l Europe.ÉVOLUONS
nathalie (mercredi, 21 septembre 2011 05:34)
C'est inacceptable.
Sylvie Jean. 29 rue Martin, Longueuil (mercredi, 21 septembre 2011 08:33)
On a pas besoin d'aller très loin, si l'on prend juste les municipalités, eu même contreviennent au bien être et à la sécurité des aminaux errants qu'il nous obliges à les laissé à eux même sous peine d'amende ou autre, alors M Le Ministre il serait peut-être temps d'agir, car il ne faut pas oublié que se sont avant tout des animaux domestique et supposé être protégé ?
Louise Auger (mercredi, 21 septembre 2011 09:10)
Depuis 35 ans que je milite au nom des sans voix et j'ose espérer que ce projet de Règlement pour la sécurité des chiens et des chats réponde enfin aux exigences essentielles pour contrer réellement ce fléau. Je ne peux croire vraiment que je verrai ce changement de mon vivant... Il est grand temps que nos granges de bétail ne soient plus recyclées en usines à chiots mais pour ce faire, il faut AGIR pour les DISSUADER à l'avenir!!
Dominique Mertens (mercredi, 21 septembre 2011 13:33)
Faites une loi avec plus de mordant et qui protégera vraiment les animaux. Ces pauvres chiens et chats sont utilisés une fois de plus pour que des personnes sans scrupule fassent de l'argent. Toujours ce foutu argent qui corrompt et qui mène ici à de la cruauté! Faites quelque chose pour vrais! Merci au nom de tous ces chiens et chats.
Shelley Schecter (mercredi, 21 septembre 2011 15:41)
Dear Mr. Minister,
The fact that you have the power to shut down these horror houses, puppy mills, and stop the sale of companion animals in stores, and you don't do it, is absolutely reprehensible!
I do not know how you sleep at night. You really must think that animals are just garbage.
I would say 'Shame on you!', but you have to have some humanity to feel shame and since you apparently have no humanity, you cannot feel shame.
Shelley Schecter
Chantal P. (jeudi, 22 septembre 2011 00:12)
Objet: Imposition d'un quota, non à l'élevage des chiens comme du bétail!
Monsieur le ministre Pierre Corbeil,
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Copie (CC) au journaliste du journal de Québec:
jean-luc.lavallee@journaldequebec.com
Monsieur le Ministre,
Nous avons été choqués de lire dans le journal de Québec dans l'édition du 19 septembre 2011 que vous n'aviez pas l'intention d'imposer des quotas de reproduction, et ce, malgré la récente saisie de 527 chiens en Outaouais, un record au Canada.
Comment ne pas appréhender les nouvelles mesures à venir lorsque nous prenons connaissance de vos affirmations: (Si les gens font les choses de façon adéquate, la quantité n’est pas nécessairement un critère). Sachez que, sans l'imposition d'un quota de reproduction par le MAPAQ, les usines à chiots pourront continuer d'opérer avec un nombre gigantesque de chiens à condition que les cages, l'eau et la nourriture soient adéquates.
Croyez-vous vraiment que le Québec va enrayer le problème des usines à chiots et de la surpopulation animale si vous ne fixez pas un nombre maximum de femelles reproductrices ainsi qu'un quota de reproduction? Avec ce genre de mesure politique sans portée réelle, les usines à chiots pourront continuer de prospérer légalement pourvu que les conditions de garde soient conformes. Les femelles d’élevage qui passeront encore toute leur vie dans de «plus grandes cages» seront encore accouplées de façon continue jusqu’à ce que leurs corps épuisés deviennent incapables de produire assez de chiots (habituellement entre l’âge de quatre et six ans), à ce moment, elles ne sont plus rentables et sont simplement tuées - pas forcément par un vétérinaire, mais avec les moyens du bord- comme le sont aussi les chiens mâles non vendus.
Nous croyons que, sans l'imposition d'un quota, le gouvernement et le MAPAQ vont au contraire encourager les exploitants à se convertir ou à ce lancer dans ce genre de commerce lucratif qui se rapproche de l'élevage du bétail. Faut-il rappeler au ministre que la dernière saisie de 527 chiens a eu lieu sur une FERME.
Il est totalement inacceptable que nos animaux domestiques du Québec puissent être reproduits avec les mêmes critères que le secteur de l'industrie de la viande. Nous ne voulons pas d'un « havre » pour les éleveurs, nous voulons la fin des mégas usines à chiots.
Nous demandons au ministre du MAPAQ pour la province de Québec, Monsieur Pierre Corbeil, de mettre en place une législation efficace afin d'améliorer réellement le sort des animaux dans son projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens. .
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de nos sentiments les plus respectueux.
P.S.Pourriez-vous pour une fois écouter le peuple et regarder avec vos vrais yeux tout ce qui se passe autour de vous, alors si vous voyez réellement la souffrance et la détresse de ces petites bêtes, vous serez alors incapable de ne pas bouger et faire tout ce qu'il faut afin que ces atrocités finissent...ce sont des êtres vivants tout comme nous exception près que nous avons la parole alors voilà pourquoi nous crions fort notre peine et désarroi à voir toutes ces écoeuranteries...pour ce qui est de l'intelligence, j'avoue que souvent ils le sont plus que bien des humains...eux ils ne demandent rien d'autre que le droit à la vie, au respect au même titre que nous les humains et ils nous rendent la vie tellement plus belle alors pourquoi les priver de ce petit bonheur...je ne sais pas pourquoi rien ne bouge, qui a avantage à ce que les choses stagnent mais dites non à la souffrance tout court...
( Votre nom, adresse, ville )
Chantal P. Drummondville
marie-josée ayotte (jeudi, 22 septembre 2011 09:39)
franchement ! vous êtes vous déja rendu dans une usine a chiot? y avez vous déja vue la soufrance , la peur, la tristesse de ses animaux là ? je ne crois pas, parce que si vous aviez vue ca une fois dans votre vie, vous nauriez pas voulu , ayant le pouvoir de changer les choses, ne rien faire, virer les talons et faire comme si vous n'aviez rien vue.montrer ces images a des enfants et ils vous suplieront de les aidés! V ous n'avez plus le droit d'accepter ce genre de situation.Des pays moin évoluer que le notre on des lois beaucoup plus sévère qu'au québec ca suffit! vous devez agir !
Donald J.Englehart (jeudi, 22 septembre 2011 10:02)
Une partie du problème repose sur le fait que les "éleveurs" n'ont aucune compétence et connaissance de 1 les chiens et de 2 l'élevage de ces derniers.
Les chiens (Canis Familliaris) sont des carnivore ils n'ont pas les mêmes besoins que le bétail!!! Il faut que le Ministre impose une formation adéquate et préalable a l'élevage des chiens. Cette formation doit être basé sur des études scientifique comprenant des volets multiples de l,anatomie jusqu'au développement des chiots en passant par la reproduction.
Le parti Libéral est le parti le plus aveugle que le Québec ait porté! Regardez les choses en face et arrêté de penser à votre caisse électorale, Soyez HUMAIN autant que cela soit possible...
André Morneault (jeudi, 22 septembre 2011 10:22)
Interdisez la vente des chiots dans les animalerie et vous verrez fondre comme neige au soleil les usines à chiots qui nous couvre de ridicule partout sur la planète...
Chantal Garneau (jeudi, 22 septembre 2011 12:12)
Je vois encore que l'argent est beaucoup plus important que les chiens et chats maltraités au Québec! Ca pu d'allure....
lise gagnon (jeudi, 22 septembre 2011 14:46)
interdire la vente d animaux , et vous verrez que cela cessera, c est la solution, suivre l exemple de B.C. et nouvellement toronto.
Ceal fais des annees lumieres que cet ecoeuranterie existe.
Lise Labrecque, Cap-Santé (vendredi, 23 septembre 2011 20:33)
Nous ne voulons plus d'usines à chiots au Québec. Qu'il soit interdit aux animaleries de vendre des chiots.
Suzie Dufault (lundi, 26 septembre 2011 12:08)
Visite régulière inattendue chez les éleveurs serait un bon début. Fermer les mauvais endroits.
Josianne Faure Terrebonne (mercredi, 07 décembre 2011 22:48)
M. Corbeil, il est temps de faire avancer les choses.
La souffrance animal doit être prise au sérieux et vous ête la personne pour mettre un terme à cette souffrance inutile. Il faut mettre des quotas pour la reproduction féline et canine. Il faut arrêter de vendre ces pauvres bêtes dans les animaleries. Si vous voulez avoir de l'argent alors, imposer en plus des quotas, des permis obligatoires pour la reproduction. C'est trop facile avoir un animal de compagnie, par contre c'est beaucoup plus difficile d'en prendre la responsabilité. Combien de personnes abandonne leurs chats à l'extérieur et ces pauvres bêtes finissent par mourir de froid ou de maladie. De plus ces pauvres bêtes mettent au monde de petites créatures innocentes. Ces bébés-là ne vivent pas longtemps et surtout ils vivront dans la souffrance. La maltraitance et la négligence c'est dégueulasse, il faut mettre fin a cette souffrance monsieur le ministre. Si vous avez un animal de compagnie que vous aimé, imaginez le couché dans ses excréments, mal nourri, négligé, ayant froid ou bien trop chaud et enfermé. Qu'en pensez-vous? Faites une différence M.Corbeil mettez des quotas, des permis, retirez le droit de reproduire ces pauvres animaux. C'est assez! soyons humains. Merci.
jude (jeudi, 08 décembre 2011 09:41)
comme du bétail?? c'est très spéciste ce que vous dites là comme si c'était correct que les animaux de la ferme soient traités ainsi mais pas les chiens et les chats?? GO VEGAN!!
sonia (jeudi, 08 décembre 2011 13:29)
moi je ne fait pas delevage mes chiens sont mes enfants pour mois jen possede 4 petit caniche et un yorkshire vil sont tous sterilise, je nai paa de porte de chiots et jen voulait pas en partant cest simplement leur compagnie a cote de moi tpout au long des jours qui egaie mes journee.alors je dit moi aussi pas dusine a chiot car cest trop cruel tout ca je deteste la cruaute animale et la negligence sa doit arreter pour le bien de nos petits animaux .
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